Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la tendance des mises en chantier d’habitations dans les centres urbains du Québec se chiffrait à 42 600 en août. Cette tendance correspond à la moyenne mobile du nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé de mises en chantier d’habitations. Ce nombre se situait à 39 700 en août; il était en baisse par rapport à celui de 44 000 enregistré en juillet.
« Le rythme de la construction résidentielle demeure stable dans le segment des maisons individuelles. Du côté des logements collectifs nous avons observé un ralentissement de la cadence au mois dernier. Nous sommes toujours d’avis que le rythme des mises en chantier d’appartements sera moins rapide au dernier trimestre de cette année », affirme Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Étant donné la grande variabilité des chiffres estimatifs mensuels, la SCHL analyse, pour certains marchés, la tendance, en plus du nombre mensuel désaisonnalisé annualisé, pour obtenir un portrait plus complet de l’état du marché de l’habitation. Vu que les mises en chantier d’habitations sont surtout stimulées par le segment des logements collectifs, où l’activité peut évoluer de façon assez imprévisible d’un mois à l’autre, il pourrait être trompeur, pour certains marchés et dans certaines situations, de n’analyser que les données désaisonnalisées annualisées.
Ailleurs au pays, en août, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier en milieu urbain a progressé dans toutes les régions. Dans chacune des régions, la variation de l'activité est principalement attribuable au segment des logements collectifs.
« Le rythme de la construction résidentielle demeure stable dans le segment des maisons individuelles. Du côté des logements collectifs nous avons observé un ralentissement de la cadence au mois dernier. Nous sommes toujours d’avis que le rythme des mises en chantier d’appartements sera moins rapide au dernier trimestre de cette année », affirme Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Étant donné la grande variabilité des chiffres estimatifs mensuels, la SCHL analyse, pour certains marchés, la tendance, en plus du nombre mensuel désaisonnalisé annualisé, pour obtenir un portrait plus complet de l’état du marché de l’habitation. Vu que les mises en chantier d’habitations sont surtout stimulées par le segment des logements collectifs, où l’activité peut évoluer de façon assez imprévisible d’un mois à l’autre, il pourrait être trompeur, pour certains marchés et dans certaines situations, de n’analyser que les données désaisonnalisées annualisées.
Ailleurs au pays, en août, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier en milieu urbain a progressé dans toutes les régions. Dans chacune des régions, la variation de l'activité est principalement attribuable au segment des logements collectifs.