Selon la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la tendance des mises en chantier d’habitations dans les centres urbains du Québec se chiffrait à 30 687 en juin, comparativement à 31 581 en mai. Cette tendance correspond à la moyenne mobile de six mois du nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé (DDA) de mises en chantier d’habitations.
« Pour la première moitié de 2013, le bilan des mises en chantier d’habitations est en baisse de 25 % comparativement à la même période l'an dernier. Une diminution de pareille ampleur a été observée tant dans le segment des maisons individuelles que dans celui des logements collectifs.
Pour ce qui est des maisons individuelles, l'affaiblissement de l’activité est attribuable, entre autres, à la modération du marché de l'emploi ainsi qu'à la détente du marché de la revente, où l'offre est en croissance et la progression des prix s'estompe. Quant au recul de la construction de logements collectifs, il découle de l'offre relativement élevée sur le marché en ce moment. Ce contexte de marché s’applique à la majorité des grands centres urbains au Québec et est
conforme à nos prévisions », a déclaré Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Étant donné la grande variabilité des chiffres estimatifs mensuels, la SCHL tient compte de la tendance, en plus du nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé, pour obtenir un portrait plus complet de l’état du marché de l’habitation. Dans certaines situations et sur certains marchés, il pourrait être trompeur de n’analyser que les DDA, car les mises en chantier d’habitations sont alimentées surtout par le segment des logements collectifs, où l’activité peut varier beaucoup d’un mois à l’autre.
Quant au nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé, il se situait à 30 051 en juin, en baisse par rapport à celui de 32 439 enregistré en mai.
« Pour la première moitié de 2013, le bilan des mises en chantier d’habitations est en baisse de 25 % comparativement à la même période l'an dernier. Une diminution de pareille ampleur a été observée tant dans le segment des maisons individuelles que dans celui des logements collectifs.
Pour ce qui est des maisons individuelles, l'affaiblissement de l’activité est attribuable, entre autres, à la modération du marché de l'emploi ainsi qu'à la détente du marché de la revente, où l'offre est en croissance et la progression des prix s'estompe. Quant au recul de la construction de logements collectifs, il découle de l'offre relativement élevée sur le marché en ce moment. Ce contexte de marché s’applique à la majorité des grands centres urbains au Québec et est
conforme à nos prévisions », a déclaré Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Étant donné la grande variabilité des chiffres estimatifs mensuels, la SCHL tient compte de la tendance, en plus du nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé, pour obtenir un portrait plus complet de l’état du marché de l’habitation. Dans certaines situations et sur certains marchés, il pourrait être trompeur de n’analyser que les DDA, car les mises en chantier d’habitations sont alimentées surtout par le segment des logements collectifs, où l’activité peut varier beaucoup d’un mois à l’autre.
Quant au nombre mensuel désaisonnalisé et annualisé, il se situait à 30 051 en juin, en baisse par rapport à celui de 32 439 enregistré en mai.