Selon les résultats du dernier relevé mensuel effectué par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la construction résidentielle a progressé au Québec le mois dernier dans les centres de 10 000 habitants et plus. Au total, 4 616 habitations ont été commencées en septembre 2011, comparativement à 3 623 un an auparavant. Par ailleurs, le taux désaisonnalisé
annualisé de mises en chantier du mois de septembre (50 700) représente un rythme d’activité plus élevé que celui du mois d’août (38 400).
Le résultat de septembre porte le cumul annuel des mises en chantier dans les centres urbains à 30 420, un chiffre inférieur de 6 % à celui des neuf premiers mois de 2010. Ce recul est attribuable au segment des maisons individuelles (-17 %), les mises en chantier de logements collectifs ayant diminué légèrement (-1 %).« La hausse notable de l’activité en septembre est exceptionnelle et résulte de la mise en chantier simultanée de nouveaux ensembles de copropriétés à Montréal. Ailleurs au Québec, les mises en chantier sont essentiellement en baisse. Compte tenu du rythme soutenu observé au cours des dernières années et du potentiel de demande, nous nous attendons toujours à ce que la tendance baissière reprenne à court terme », fait remarquer Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Une hausse de l’activité a été enregistrée du côté des logements collectifs (maisons jumelées et en rangée, appartements), segment dans lequel les mises en chantier sont passées de 2 558, en septembre 2010, à 3 590, un an plus tard, ce qui représente une progression de 40 %. En outre, le taux désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s’est établi à 39 300 en septembre, alors qu’il était de 27 200 le mois précédent. Le résultat de septembre s’explique par la hausse importante de l’activité dans le marché de Montréal.
Les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé de 4 % en septembre par rapport au même mois en 2010. Par ailleurs, leur nombre désaisonnalisé annualisé est passé de 11 200, en août, à 11 400, en septembre. À l’exception de Sherbrooke et de Trois-Rivières, toutes les régions métropolitaines de recensement (RMR) de la province ont accusé des pertes
annualisé de mises en chantier du mois de septembre (50 700) représente un rythme d’activité plus élevé que celui du mois d’août (38 400).
Le résultat de septembre porte le cumul annuel des mises en chantier dans les centres urbains à 30 420, un chiffre inférieur de 6 % à celui des neuf premiers mois de 2010. Ce recul est attribuable au segment des maisons individuelles (-17 %), les mises en chantier de logements collectifs ayant diminué légèrement (-1 %).« La hausse notable de l’activité en septembre est exceptionnelle et résulte de la mise en chantier simultanée de nouveaux ensembles de copropriétés à Montréal. Ailleurs au Québec, les mises en chantier sont essentiellement en baisse. Compte tenu du rythme soutenu observé au cours des dernières années et du potentiel de demande, nous nous attendons toujours à ce que la tendance baissière reprenne à court terme », fait remarquer Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec.
Une hausse de l’activité a été enregistrée du côté des logements collectifs (maisons jumelées et en rangée, appartements), segment dans lequel les mises en chantier sont passées de 2 558, en septembre 2010, à 3 590, un an plus tard, ce qui représente une progression de 40 %. En outre, le taux désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s’est établi à 39 300 en septembre, alors qu’il était de 27 200 le mois précédent. Le résultat de septembre s’explique par la hausse importante de l’activité dans le marché de Montréal.
Les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé de 4 % en septembre par rapport au même mois en 2010. Par ailleurs, leur nombre désaisonnalisé annualisé est passé de 11 200, en août, à 11 400, en septembre. À l’exception de Sherbrooke et de Trois-Rivières, toutes les régions métropolitaines de recensement (RMR) de la province ont accusé des pertes