Selon les résultats du dernier relevé mensuel effectué par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), la construction résidentielle a progressé au Québec le mois dernier dans les centres de 10 000 habitants et plus. Au total, 2 911 habitations ont été mises en chantier en janvier, comparativement à 1 997 un an auparavant. Par ailleurs, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier pour ce même mois (48 400) montre un rythme d’activité plus fort que celui de décembre (45 100).
Au Canada, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d’habitations dans les centres urbains était de 165 200 en janvier.
La poussée de la construction résidentielle enregistrée en janvier au Québec est attribuable à des hausses dans le segment des maisons individuelles (+41 %) et dans la catégorie des logements collectifs (+47 %). À l’échelle régionale, les régions métropolitaines de recensement (RMR) de Montréal et de Québec ont affiché des hausses importantes.
« La hausse importante des mises en chantier en janvier s’explique par une concomitance de facteurs : le resserrement du marché de la revente au cours de l’an dernier – qui a favorisé la demande d’habitations neuves – et les conditions météorologiques, qui ont été défavorables au travail sur les chantiers en janvier l’an dernier, mais relativement favorables cette année. Nous estimons que ce dynamisme ne préfigure pas la vigueur prévue pour 2010 », note Kevin Hughes, économiste régional à la SCHL.
Dans l’ensemble des RMR du Québec, les mises en chantier de maisons individuelles ont progressé de 48 % par comparaison à janvier 2009, et celles d’habitations collectives ont augmenté de 53 %. Au total, les fondations de 2 538 logements ont été coulées dans les RMR de la province en janvier, soit 52 % de plus qu’un an auparavant.
Durant cette même période, les agglomérations de recensement comptant entre 50 000 et 99 999 habitants ont enregistré une stabilité relative (5 mises en chantier de moins qu’en janvier 2009). Les mises en chantier de maisons individuelles y ont été plus nombreuses (+42 %), mais une baisse d’activité dans le segment des habitations collectives (-23 %) a fait contrepoids.
Dans les RMR, la progression des mises en chantier destinées au marché de la propriété absolue (+75 %) et au marché des copropriétés (+93 %) était particulièrement forte. Durant cette même période, le bilan des mises en chantier visant le marché locatif (-2 %) était relativement stable dans les RMR.
Au Canada, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d’habitations dans les centres urbains était de 165 200 en janvier.
La poussée de la construction résidentielle enregistrée en janvier au Québec est attribuable à des hausses dans le segment des maisons individuelles (+41 %) et dans la catégorie des logements collectifs (+47 %). À l’échelle régionale, les régions métropolitaines de recensement (RMR) de Montréal et de Québec ont affiché des hausses importantes.
« La hausse importante des mises en chantier en janvier s’explique par une concomitance de facteurs : le resserrement du marché de la revente au cours de l’an dernier – qui a favorisé la demande d’habitations neuves – et les conditions météorologiques, qui ont été défavorables au travail sur les chantiers en janvier l’an dernier, mais relativement favorables cette année. Nous estimons que ce dynamisme ne préfigure pas la vigueur prévue pour 2010 », note Kevin Hughes, économiste régional à la SCHL.
Dans l’ensemble des RMR du Québec, les mises en chantier de maisons individuelles ont progressé de 48 % par comparaison à janvier 2009, et celles d’habitations collectives ont augmenté de 53 %. Au total, les fondations de 2 538 logements ont été coulées dans les RMR de la province en janvier, soit 52 % de plus qu’un an auparavant.
Durant cette même période, les agglomérations de recensement comptant entre 50 000 et 99 999 habitants ont enregistré une stabilité relative (5 mises en chantier de moins qu’en janvier 2009). Les mises en chantier de maisons individuelles y ont été plus nombreuses (+42 %), mais une baisse d’activité dans le segment des habitations collectives (-23 %) a fait contrepoids.
Dans les RMR, la progression des mises en chantier destinées au marché de la propriété absolue (+75 %) et au marché des copropriétés (+93 %) était particulièrement forte. Durant cette même période, le bilan des mises en chantier visant le marché locatif (-2 %) était relativement stable dans les RMR.