Au deuxième trimestre de 2012, les niveaux d'accessibilité à la propriété au Québec se sont améliorés dans deux catégories sur trois, tandis que la proportion du revenu qu’un ménage doit consacrer aux coûts de possession d’une propriété selon les valeurs du marché augmentait dans la plupart des autres régions du Canada, selon le dernier rapport Tendances immobilières et accessibilité à la propriété, publié aujourd'hui par Re cherche économique RBC.
Pendant cette période, l'activité a été soutenue dans le marché de la revente au Québec, qui a atteint le troisième niveau le plus élevé pour un deuxième trimestre enregistré à ce jour.
« Nous continuons d'observer une évolution en dents de scie des mesures d'accessibilité à la propriété au Québec ; les changements enregistrés au cours de la dernière période vont généralement en direction opposée de ceux enregistrés au
trimestre précédent, et sont à l'encontre de ce qui s'est passé dans la plupart des autres régions du pays, a souligné Robert Hogue, premier économiste, RBC. L'accessibilité s'est légèrement améliorée dans les catégories des bungalows individuels et des appartements en copropriété, mais s'est quel que peu détériorée dans celle des maisons de deux étages. Dans l'ensemble, ces changements ont maintenu les niveaux d'accessibilité près de leurs moyennes historiques dans la province, et n'ont pas encore influé de façon importante sur la demande de propriétés. »
Les mesures d’accessibilité à la propriété de RBC expriment la proportion du revenu avant impôts qu'un ménage type de la province doit consacrer au paiement des coûts de propriété d'une résidence au prix courant. La mesure relative à la maison de
deux étages standard s'est accrue pour s'établir à 42,7 %, une augmentation de 0,2 % par rapport au trimestre pr écédent (une hausse de la mesure correspond à une diminution de l'accessibilité). Les mesures relatives aux bungalows individuels et aux appartements en copropriété ont reculé respectivement de 0,7 % et de 0,5 % pour s'établir à 34 % et à 27,3 %, se rapprochant ainsi des moyennes à long terme pour ces deux catégories d'habitation.
Amélioration de l'accessibilité da ns la région de Montréal
Au deuxième trimestre de 2012, les mesures d'accessibilité dans la région de Montréal ont baissé de 0,9 % à 1 %, de sorte que la détérioration importante enregistrée au premier trimestr e a été en grande partie effacée. Dans la région de Montréal, les mesures d'accessibilité de RBC ont diminué dans toutes les catégories de propriétés, plus particulièrement dans la catégorie des bungalows individuels (baisse de 1 %, à 40,4 %) et, dans une proportion moindre, dans les catégories des maisons de deux étages (baisse de 0,9 %, à 52,6 %) et des appartements en copropriété (baisse de 0,9 %, à 31,6 %).
« L'amélioration de l'accessibilité dans la région de Montréal va à l'encontre de la tendance observée ailleurs au pays ; cependant, il est possible que cette amélioration ne soit que le reflet de la récente volatilité, plus marquée que d'habitude dans ce marché, a ajouté M. Hogue. Malgré cette amélioration, l'accessibilité dans la catégorie des maisons de deux étages cont inue de dénoter des tensions dans la région, car elle dépasse à la fois sa moyenne à long terme de 42,6 % et la moyenne nationale actuelle de 49,4 %. »
Pendant cette période, l'activité a été soutenue dans le marché de la revente au Québec, qui a atteint le troisième niveau le plus élevé pour un deuxième trimestre enregistré à ce jour.
« Nous continuons d'observer une évolution en dents de scie des mesures d'accessibilité à la propriété au Québec ; les changements enregistrés au cours de la dernière période vont généralement en direction opposée de ceux enregistrés au
trimestre précédent, et sont à l'encontre de ce qui s'est passé dans la plupart des autres régions du pays, a souligné Robert Hogue, premier économiste, RBC. L'accessibilité s'est légèrement améliorée dans les catégories des bungalows individuels et des appartements en copropriété, mais s'est quel que peu détériorée dans celle des maisons de deux étages. Dans l'ensemble, ces changements ont maintenu les niveaux d'accessibilité près de leurs moyennes historiques dans la province, et n'ont pas encore influé de façon importante sur la demande de propriétés. »
Les mesures d’accessibilité à la propriété de RBC expriment la proportion du revenu avant impôts qu'un ménage type de la province doit consacrer au paiement des coûts de propriété d'une résidence au prix courant. La mesure relative à la maison de
deux étages standard s'est accrue pour s'établir à 42,7 %, une augmentation de 0,2 % par rapport au trimestre pr écédent (une hausse de la mesure correspond à une diminution de l'accessibilité). Les mesures relatives aux bungalows individuels et aux appartements en copropriété ont reculé respectivement de 0,7 % et de 0,5 % pour s'établir à 34 % et à 27,3 %, se rapprochant ainsi des moyennes à long terme pour ces deux catégories d'habitation.
Amélioration de l'accessibilité da ns la région de Montréal
Au deuxième trimestre de 2012, les mesures d'accessibilité dans la région de Montréal ont baissé de 0,9 % à 1 %, de sorte que la détérioration importante enregistrée au premier trimestr e a été en grande partie effacée. Dans la région de Montréal, les mesures d'accessibilité de RBC ont diminué dans toutes les catégories de propriétés, plus particulièrement dans la catégorie des bungalows individuels (baisse de 1 %, à 40,4 %) et, dans une proportion moindre, dans les catégories des maisons de deux étages (baisse de 0,9 %, à 52,6 %) et des appartements en copropriété (baisse de 0,9 %, à 31,6 %).
« L'amélioration de l'accessibilité dans la région de Montréal va à l'encontre de la tendance observée ailleurs au pays ; cependant, il est possible que cette amélioration ne soit que le reflet de la récente volatilité, plus marquée que d'habitude dans ce marché, a ajouté M. Hogue. Malgré cette amélioration, l'accessibilité dans la catégorie des maisons de deux étages cont inue de dénoter des tensions dans la région, car elle dépasse à la fois sa moyenne à long terme de 42,6 % et la moyenne nationale actuelle de 49,4 %. »