Selon la base de données provinciale des courtiers immobiliers, la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) indique que 15 212 transactions de propriétés résidentielles ont été conclues au troisième trimestre de 2012 dans la province de Québec. Il s’agit d’un nombre de 6 % inférieur à celui enregistré à la même période en 2011, une première baisse après quatre trimestres de résultats à la hausse.
À l’échelle provinciale, les trois catégories de propriété ont connu une diminution des ventes. L’unifamiliale a affiché la plus faible baisse, soit de 4 %, avec 10 895 maisons vendues. Les diminutions de ventes de copropriétés et de plex ont cependant été plus prononcées, soit de 10 % et 15 % respectivement, avec 3 045 et 1 175 transactions réalisées.
« L’année dernière à la même période, la locomotive du marché québécois avait été la copropriété. C’est grâce à une hausse de 10 % dans cette catégorie que le nombre de transactions résidentielles avait enregistré une croissance. Cette année, moins d’acheteurs de copropriétés étaient au rendez-vous dans les centres urbains de Montréal, Québec, Gatineau et Sherbrooke », explique Paul Cardinal, directeur du service Analyse du marché de la FCIQ.
Le nombre de propriétés résidentielles offertes sur le marché du Québec par des courtiers immobiliers a continué sa progression pour un neuvième trimestre consécutif. Alors que l’inventaire de plex et d’unifamiliales affichait des augmentations modestes de 2 % et 5 % respectivement au troisième trimestre de 2012, le nombre de copropriétés à vendre était de 20 % supérieur à celui de l’an dernier.
La croissance des prix s’est poursuivie au troisième trimestre de 2012 pour chacune des catégories de propriété. Le prix médian des unifamiliales au Québec a atteint 217 500 $, en hausse de 2 %.
« Quatre des six régions métropolitaines de la province ont affiché une hausse de 4 % ou plus du prix médian de leur unifamiliale, et bon nombre d’agglomérations ont enregistré des augmentations de 5 % ou plus à ce chapitre », ajoute M. Cardinal.
À l’échelle provinciale, les trois catégories de propriété ont connu une diminution des ventes. L’unifamiliale a affiché la plus faible baisse, soit de 4 %, avec 10 895 maisons vendues. Les diminutions de ventes de copropriétés et de plex ont cependant été plus prononcées, soit de 10 % et 15 % respectivement, avec 3 045 et 1 175 transactions réalisées.
« L’année dernière à la même période, la locomotive du marché québécois avait été la copropriété. C’est grâce à une hausse de 10 % dans cette catégorie que le nombre de transactions résidentielles avait enregistré une croissance. Cette année, moins d’acheteurs de copropriétés étaient au rendez-vous dans les centres urbains de Montréal, Québec, Gatineau et Sherbrooke », explique Paul Cardinal, directeur du service Analyse du marché de la FCIQ.
Le nombre de propriétés résidentielles offertes sur le marché du Québec par des courtiers immobiliers a continué sa progression pour un neuvième trimestre consécutif. Alors que l’inventaire de plex et d’unifamiliales affichait des augmentations modestes de 2 % et 5 % respectivement au troisième trimestre de 2012, le nombre de copropriétés à vendre était de 20 % supérieur à celui de l’an dernier.
La croissance des prix s’est poursuivie au troisième trimestre de 2012 pour chacune des catégories de propriété. Le prix médian des unifamiliales au Québec a atteint 217 500 $, en hausse de 2 %.
« Quatre des six régions métropolitaines de la province ont affiché une hausse de 4 % ou plus du prix médian de leur unifamiliale, et bon nombre d’agglomérations ont enregistré des augmentations de 5 % ou plus à ce chapitre », ajoute M. Cardinal.